À propos de La Petite Lunette Rouge
Dessinée et « Fait main » en France par une équipe française
"Créer pour marquer le futur", précurseur ou anachronique, cette déclaration synthétise la paradoxale force de LPLR Eyewear (acronyme de "La Petite Lunette Rouge"), révolution dans le monde de l’optique depuis 2016. Double cerveau à l’origine de ce séisme créatif, Alison Hemmes et Hilarhi Arcade. Inspiré, visionnaire, résolument tourné vers demain, leur travail bicéphale tranche avec tout ce qui était connu jusqu’alors. « On crée comme si on avait deux ans d’avance », plaisante ce dernier, dans le secteur de l’optique depuis 1997. Pourtant partis du vu et revu clip solaire des 80’s, ils ont tout déconstruit pour réinventer la lunette. Le verre plat et la double barre droite rouge deviennent les fondations de leurs modèles architecturés, aux lignes nettes et au style très pointu quasi futuriste. S’ajoute à cela une fascination commune pour l’art contemporain et les grands visionnaires. Léonard de Vinci, Marcel Duchamp, Issey Miyake, Jules Vernes, Le Corbusier ou encore Steve Jobs, ces pionniers ont tous une paire de LPLR à leur nom.
Chaque monture est signée d’un double pont resserré comme un clin d’œil aux clips solaires de cette décennie. Au début, uniquement en rouge, la barre supérieure est maintenant colorée en différentes nuances.
Derrière des anagrammes qui masquent leurs véritables identités pour se concentrer sur leurs créations, Alison et Hilarhi aiment jouer avec l’esprit provocateur de l’art contemporain. L’audace est le moteur de leur quête de singularité et de modernisme.
Les deux fondateurs bousculent ainsi les codes et les identités, et même les leurs. Ils fuient, à l’image de Martin Margiela au début des années 90, les designer stars devenus icônes sacralisées, préférant cultiver la discrétion. Dans l’ADN de la marque, l’audace donne le ton mais n’occulte en rien deux autres priorités aux yeux du duo : la qualité et l’exclusivité. Savoir-faire tricolore oblige, leurs modèles sont fabriqués à Oyonnax, dans l’Ain, l’un des berceaux historiques de la lunette française.
Exit le mass-market, LPLR n’est commercialisée que dans une poignée d’adresses pointues dont le concept store parisien Colette – nec plus ultra de la branchitude – qui fermera d’ailleurs ses portes en décembre. « Entrer chez eux et être en vitrine en trois mois alors qu’ils ne font habituellement jamais de collaboration pour des lunettes, reste notre plus grande satisfaction », admet avec fierté Hilarhi Arcade, et de poursuivre : « Nous ne voulons pas galvauder notre marque… Nous ne voulons pas que nos lunettes soient portées par tout le monde, elles s’adressent à des précurseurs, des personnes suffisamment audacieuses pour s’afficher avec nos créations en plein milieu du visage ».
La collection solaire
La collection optique
L'histoire continue et la famille s'agrandit en 2022 avec une ligne dédiée aux enfants. Dans la même idée que la collection pour adulte, chacune de leur création veut rendre hommage à des personnages qui ont bercé leur enfance. Tout comme ils cachent leur identité derrière un anagramme, vous pourez jouer à trouver la personne qui se cache derrière les anagrammes de Muper Rasio, Sinco, Chospatano, Karogold…
La collection Petite PETITE